Lorsque, durant la nuit de Noël, de pauvres bergers se sont mis en route vers l’étable où allait s’accomplir la venue de « l’Emmanuel », les anges qui les guidaient s’exclamaient : « Paix sur la terre aux hommes qu’il aime » (Lc 2, 14)
C’est ainsi que Noël se révèle le don de la paix de Dieu pour tous les hommes. Cette paix n’est pas seulement un don à recevoir, mais bien également une œuvre à reconstruire sans cesse : en nous-même et avec les autres, en famille, dans nos relations avec nos proches, dans nos lieux de travail et dans la vie de la société entière. La paix doit être dans nos gestes, dans notre langage, dans nos comportements, dans nos agissements pour que nous puissions créer une chaine d’harmonie autour de nous.
Néanmoins, la paix ne peut être atteinte au sein de la société ou dans le monde que par la contribution absolument volontaire de tous et de chacun. Avant nous, beaucoup d’hommes et de femmes se sont engagés en faveur de la paix, à travers leurs actions ou leur œuvre, comme Picasso et sa Colombe pour la paix, Gandhi et son action non-violente, Martin Luther King lors de sa lutte pour les droits civiques, Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre pour leur engagement auprès des plus pauvres, Nelson Mandela et son combat contre l’apartheid et pour la réconciliation, Jean Paul II pour ses actions et la "prière de Kuneitra" en Syrie pour la paix …
Nous ne pouvons célébrer Noël sans une participation active à construire « la paix », sans une volonté accrue de multiplier des gestes pour la paix envers tous ceux que nous croisons sur nos chemins et tous ceux que nous allons oser rencontrer en ce temps de Noël, qui se veut l’incarnation dans notre humanité d’un Dieu qui désire la paix pour tous et entre tous. « Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu », affirme Jésus dans l’enseignement sur la montagne (Mt 5, 9).
C’est ainsi que je souhaite à chacun de « Joyeux Noël 2016, Bonne et Heureuse année 2017 ». Puissions-nous accueillir et faire fructifier la paix dans une vigilance de chaque instant. Cette paix venant de l’Emmanuel semée sur toute la France et dans le monde, signifiée par des milliers de petits gestes de chacun, demeure l’outil le plus efficace pour l’éradication de la violence, de l’indifférence et la haine.
Bien fraternellement et en union de prière,
Père Pierre-Marie
Tous les éditos
Néanmoins, la paix ne peut être atteinte au sein de la société ou dans le monde que par la contribution absolument volontaire de tous et de chacun. Avant nous, beaucoup d’hommes et de femmes se sont engagés en faveur de la paix, à travers leurs actions ou leur œuvre, comme Picasso et sa Colombe pour la paix, Gandhi et son action non-violente, Martin Luther King lors de sa lutte pour les droits civiques, Sœur Emmanuelle, l’Abbé Pierre pour leur engagement auprès des plus pauvres, Nelson Mandela et son combat contre l’apartheid et pour la réconciliation, Jean Paul II pour ses actions et la "prière de Kuneitra" en Syrie pour la paix …
Nous ne pouvons célébrer Noël sans une participation active à construire « la paix », sans une volonté accrue de multiplier des gestes pour la paix envers tous ceux que nous croisons sur nos chemins et tous ceux que nous allons oser rencontrer en ce temps de Noël, qui se veut l’incarnation dans notre humanité d’un Dieu qui désire la paix pour tous et entre tous. « Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu », affirme Jésus dans l’enseignement sur la montagne (Mt 5, 9).
C’est ainsi que je souhaite à chacun de « Joyeux Noël 2016, Bonne et Heureuse année 2017 ». Puissions-nous accueillir et faire fructifier la paix dans une vigilance de chaque instant. Cette paix venant de l’Emmanuel semée sur toute la France et dans le monde, signifiée par des milliers de petits gestes de chacun, demeure l’outil le plus efficace pour l’éradication de la violence, de l’indifférence et la haine.
Bien fraternellement et en union de prière,
Père Pierre-Marie
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