Notre belle France se reconfine partiellement. Mais la Vie continue. Sa source est le cœur de Jésus, d’où partent tant de grâces d’amour et de réconciliation pour ceux et celles qui s’ouvrent à ces dons. Le mois d’octobre est traditionnellement celui du rosaire, une belle prière que nous adressons à la Vierge Marie, mère du Sauveur Jésus-Christ. Pourquoi ne pas reprendre notre chapelet et méditer les mystères de la vie de Jésus ?
Avec le dimanche 1 novembre nous contemplons la vie des saints et des saintes, ces frères et sœurs qui ont conformé leur vie à l’Évangile. Ils ont aimé. Ils ont puisé en Dieu leur force pour se donner, pour éduquer, pour soigner, pour accompagner et pour bénir. Ces personnes sont nos modèles. Leur vie peut nous inspirer un élan, un amour, un renouveau. Ils nous indiquent le chemin de la joie en Dieu.
Le lundi 2 novembre, qui n’est pas la fête des morts, nous vivons la journée de prière pour nos défunts. Nous sommes tous concernés. Notre espérance est que leur mort ne signifie pas leur disparition définitive mais une nouvelle route vers l’éternité bienheureuse auprès de Dieu. Aussi, l’Église prie avec insistance pour que leurs péchés soient pardonnés, que leurs fautes ne leur soient pas comptées et qu’ils accueillent la Miséricorde divine pour être libérés et entrer dans la Gloire du Ciel. Nous faisons célébrer des messes à leur intention. C’est là une puissante prière car c’est par ce sacrifice eucharistique que Jésus offre au Père sa vie pour nous sauver.
✚ Mgr Philippe Christory,
évêque de Chartres
Avec le dimanche 1 novembre nous contemplons la vie des saints et des saintes, ces frères et sœurs qui ont conformé leur vie à l’Évangile. Ils ont aimé. Ils ont puisé en Dieu leur force pour se donner, pour éduquer, pour soigner, pour accompagner et pour bénir. Ces personnes sont nos modèles. Leur vie peut nous inspirer un élan, un amour, un renouveau. Ils nous indiquent le chemin de la joie en Dieu.
Le lundi 2 novembre, qui n’est pas la fête des morts, nous vivons la journée de prière pour nos défunts. Nous sommes tous concernés. Notre espérance est que leur mort ne signifie pas leur disparition définitive mais une nouvelle route vers l’éternité bienheureuse auprès de Dieu. Aussi, l’Église prie avec insistance pour que leurs péchés soient pardonnés, que leurs fautes ne leur soient pas comptées et qu’ils accueillent la Miséricorde divine pour être libérés et entrer dans la Gloire du Ciel. Nous faisons célébrer des messes à leur intention. C’est là une puissante prière car c’est par ce sacrifice eucharistique que Jésus offre au Père sa vie pour nous sauver.
✚ Mgr Philippe Christory,
évêque de Chartres