Ce premier dimanche de décembre, débute le temps de l’ Avent. Nous commençons aussi une nouvelle année liturgique. Le temps précieux qu’est l’Avent n’est pas seulement la préparation de Noël. La perspective est beaucoup plus large que la simple préparation de Noël. Il s’agit d’une fête importante, mais nous attendons beaucoup plus. Nous attendons la venue du Sauveur à la fin des temps. C’est pourquoi l’Évangile des deux premiers dimanches de l’Avent annonce la venue du Messie à la fin des temps.
Le temps de l’Avent est là pour nous rappeler que nous sommes inscrits dans le temps, que le monde et nous-même devront finir. Tout est orienté vers une fin, un but : la venue du Fils de l’homme à la fin des temps. Il s’agit pour nous d’une bonne nouvelle. Nous ne sommes pas attachés au monde tel qu’il est, notre horizon est en Dieu, notre regard vise plus loin que la vie du monde où nous sommes.
Dans chaque Eucharistie , nous redisons au moment de l’anamnèse : « viens Seigneur Jésus ». À la fin du Notre Père, nous disons encore que nous attendons le « bonheur que Tu (Dieu) promets : la venue de Jésus le Christ notre Sauveur. »
Nous changeons d’année liturgique, nous passons à l’année ‘’ C ‘’, où nous entendrons l’Évangile selon Saint Luc. Ainsi nous sommes baignés progressivement au cours de notre vie dans les quatre Évangiles : celui de Jean étant proclamé à divers moments du Carême et du temps pascal.
Tirons profit de ce temps qui nous est donné pour approfondir sans cesse la Parole que Dieu nous donne, qui se révèle être le Verbe de Dieu lui-même qui vient nous visiter.
Père Jean-Pierre OMVA EDOU
Le temps de l’Avent est là pour nous rappeler que nous sommes inscrits dans le temps, que le monde et nous-même devront finir. Tout est orienté vers une fin, un but : la venue du Fils de l’homme à la fin des temps. Il s’agit pour nous d’une bonne nouvelle. Nous ne sommes pas attachés au monde tel qu’il est, notre horizon est en Dieu, notre regard vise plus loin que la vie du monde où nous sommes.
Dans chaque Eucharistie , nous redisons au moment de l’anamnèse : « viens Seigneur Jésus ». À la fin du Notre Père, nous disons encore que nous attendons le « bonheur que Tu (Dieu) promets : la venue de Jésus le Christ notre Sauveur. »
Nous changeons d’année liturgique, nous passons à l’année ‘’ C ‘’, où nous entendrons l’Évangile selon Saint Luc. Ainsi nous sommes baignés progressivement au cours de notre vie dans les quatre Évangiles : celui de Jean étant proclamé à divers moments du Carême et du temps pascal.
Tirons profit de ce temps qui nous est donné pour approfondir sans cesse la Parole que Dieu nous donne, qui se révèle être le Verbe de Dieu lui-même qui vient nous visiter.
Père Jean-Pierre OMVA EDOU